Aurore Dechambre : l'intelligence économique
Franc-comtoise, Aurore Dechambre n’a fait qu’un tout petit passage de deux ans à Strasbourg, le temps de passer un DUT Info-com à l’IUT Robert-Schuman à Illkirch. Un court passage dont elle garde néanmoins un magnifique souvenir, et qui a pu, de plus, lui mettre parfaitement le pied à l’étrier.
« Après le bac, à Besançon, j’avais vraiment envie de poursuivre mes études à Strasbourg, pour connaître une autre ville, un autre espace. Au départ, je pensais plutôt m’orienter vers des études d’arts appliqués, pour déboucher sur un métier graphique, mais j’ai raté le concours d’entrée. Alors, j’ai choisi de me diriger vers l’information et la communication ». Aurore s’inscrit alors à l’IUT Robert-Schuman d’Illkirch, en département Information-communication, option Gestion des documents dans les organisations.« J’ai beaucoup apprécié la formation que j’ai reçue à l’IUT. C’était fonctionnel et concret. J’ai eu le sentiment d’apprendre beaucoup de choses en deux ans. On a pu aussi faire le tour de tous les métiers qui touchent à la communication. Par le biais des techniques documentaires, j’ai découvert la veille et l’intelligence économique. J’ai pris conscience que ça correspondait bien avec mon côté fouineur et entêté. »
La veille, paradis des « curieux »
Son passage à Strasbourg, bien que bref, lui laisse un excellent souvenir. « Plus que cela, Strasbourg me manque. J’ai été vraiment bien accueillie et j’adore cette ville et le climat alsacien (hivers rudes, étés chauds), la richesse de la vie culturelle (musique, théâtres, musées), la proximité de l’Allemagne. À l’IUT, je me suis sentie vraiment à ma place. Et j’ai apprécié de pouvoir profiter des équipements de l’université : bibliothèque universitaire, resto U, équipements sportifs, etc. » Bref, un passage court, mais intense et déterminant, à l’Université de Strasbourg.
*L’AFP est une agence de presse mondiale fournissant de l’information en vidéo, texte, photo, multimédia et infographie sur les événements qui font l’actualité internationale. Elle emploie 2 600 personnes dont 1 500 journalistes.
« Après le bac, à Besançon, j’avais vraiment envie de poursuivre mes études à Strasbourg, pour connaître une autre ville, un autre espace. Au départ, je pensais plutôt m’orienter vers des études d’arts appliqués, pour déboucher sur un métier graphique, mais j’ai raté le concours d’entrée. Alors, j’ai choisi de me diriger vers l’information et la communication ». Aurore s’inscrit alors à l’IUT Robert-Schuman d’Illkirch, en département Information-communication, option Gestion des documents dans les organisations.« J’ai beaucoup apprécié la formation que j’ai reçue à l’IUT. C’était fonctionnel et concret. J’ai eu le sentiment d’apprendre beaucoup de choses en deux ans. On a pu aussi faire le tour de tous les métiers qui touchent à la communication. Par le biais des techniques documentaires, j’ai découvert la veille et l’intelligence économique. J’ai pris conscience que ça correspondait bien avec mon côté fouineur et entêté. »
La veille, paradis des « curieux »
N’ayant pas trouvé de licence professionnelle correspondant à ses attentes, Aurore poursuit ses études en préparant une licence de communication « classique » à Rennes. Elle enrichit ainsi ses connaissances théoriques et se prépare au master. « Aujourd’hui, je suis en apprentissage universitaire. Je travaille à l’Agence France Presse (AFP)* comme chargée d’études et d’analyse, et parallèlement, je suis une formation de master professionnel co-habilitée par Paris-Est et l’École de commerce Novancia sur l’intelligence économique et l’analyse des risques. À l’AFP, je travaille avec mon tuteur à la mise en place d’une cellule de veille au sein du service marketing. Toute la méthodologie est à construire. La veille porte sur le marketing : que font les concurrents, que proposent-ils, mais aussi sur les nouveaux formats journalistiques, dans tous les champs multimédias. C’est un projet très lourd, mais c’est passionnant. Et le fait d’être apprentie sur deux ans permet de voir aboutir un certain nombre de choses ».
La stratégie d’influence, une compétence recherchée
Quant à la suite des événements, Aurore est optimiste et ne manque pas d’idées : « le lobbying, l’intelligence économique sont des fonctions qui se développent beaucoup actuellement en entreprise. Ce qui me plaît dans cette démarche, c’est l’idée de réfléchir à une stratégie d’influence, en étant créatif. De plus, la demande émane d’entreprises complètement différentes et donc ça me permettra de changer souvent de domaine. »La stratégie d’influence, une compétence recherchée
Son passage à Strasbourg, bien que bref, lui laisse un excellent souvenir. « Plus que cela, Strasbourg me manque. J’ai été vraiment bien accueillie et j’adore cette ville et le climat alsacien (hivers rudes, étés chauds), la richesse de la vie culturelle (musique, théâtres, musées), la proximité de l’Allemagne. À l’IUT, je me suis sentie vraiment à ma place. Et j’ai apprécié de pouvoir profiter des équipements de l’université : bibliothèque universitaire, resto U, équipements sportifs, etc. » Bref, un passage court, mais intense et déterminant, à l’Université de Strasbourg.
Caroline Laplane
*L’AFP est une agence de presse mondiale fournissant de l’information en vidéo, texte, photo, multimédia et infographie sur les événements qui font l’actualité internationale. Elle emploie 2 600 personnes dont 1 500 journalistes.
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Aurore Dechambre : l'intelligence économique
2014-04-11 15:26:00
alumni.unistra.fr
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2015-11-09 15:26:00
2015-08-21 11:09:17
Service Relations Alumni UNISTRA
Franc-comtoise, Aurore Dechambre n’a fait qu’un tout petit passage de deux ans à Strasbourg, le temps de passer un DUT Info-com à l’IUT Robert-Schuman à Illkirch. Un court passage dont elle garde néanmoins un magnifique souvenir, et qui a pu, de plus, lui mettre parfaitement le pied à l’étrier.
« Après le bac, à Besançon, j’avais vraiment envie de poursuivre mes études à Strasbourg, pour connaître une autre ville, un autre espace. Au départ, je pensais plutôt m’orienter vers des études d’arts appliqués, pour déboucher sur un métier graphique, mais j’ai raté le concours d’entrée. Alors, j’ai choisi de me diriger vers l’information et la communication ». Aurore s’inscrit alors à l’IUT Robert-Schuman d’Illkirch, en département Information-communication, option Gestion des documents dans les organisations.« J’ai beaucoup apprécié la formation que j’ai reçue à l’IUT. C’était fonctionnel et concret. J’ai eu le sentiment d’apprendre beaucoup de choses en deux ans. On a pu aussi faire le tour de tous les métiers qui touchent à la communication. Par le biais des techniques documentaires, j’ai découvert la veille et l’intelligence économique. J’ai pris conscience que ça correspondait bien avec mon côté fouineur et entêté. »
La veille, paradis des « curieux »
N’ayant pas trouvé de licence professionnelle correspondant à ses attentes, Aurore poursuit ses études en préparant une licence de communication « classique » à Rennes. Elle enrichit ainsi ses connaissances théoriques et se prépare au master. « Aujourd’hui, je suis en apprentissage universitaire. Je travaille à l’Agence France Presse (AFP)* comme chargée d’études et d’analyse, et parallèlement, je suis une formation de master professionnel co-habilitée par Paris-Est et l’École de commerce Novancia sur l’intelligence économique et l’analyse des risques. À l’AFP, je travaille avec mon tuteur à la mise en place d’une cellule de veille au sein du service marketing. Toute la méthodologie est à construire. La veille porte sur le marketing : que font les concurrents, que proposent-ils, mais aussi sur les nouveaux formats journalistiques, dans tous les champs multimédias. C’est un projet très lourd, mais c’est passionnant. Et le fait d’être apprentie sur deux ans permet de voir aboutir un certain nombre de choses ».
La stratégie d’influence, une compétence recherchée
Quant à la suite des événements, Aurore est optimiste et ne manque pas d’idées : « le lobbying, l’intelligence économique sont des fonctions qui se développent beaucoup actuellement en entreprise. Ce qui me plaît dans cette démarche, c’est l’idée de réfléchir à une stratégie d’influence, en étant créatif. De plus, la demande émane d’entreprises complètement différentes et donc ça me permettra de changer souvent de domaine. »
Son passage à Strasbourg, bien que bref, lui laisse un excellent souvenir. « Plus que cela, Strasbourg me manque. J’ai été vraiment bien accueillie et j’adore cette ville et le climat alsacien (hivers rudes, étés chauds), la richesse de la vie culturelle (musique, théâtres, musées), la proximité de l’Allemagne. À l’IUT, je me suis sentie vraiment à ma place. Et j’ai apprécié de pouvoir profiter des équipements de l’université : bibliothèque universitaire, resto U, équipements sportifs, etc. » Bref, un passage court, mais intense et déterminant, à l’Université de Strasbourg.
Caroline Laplane
*L’AFP est une agence de presse mondiale fournissant de l’information en vidéo, texte, photo, multimédia et infographie sur les événements qui font l’actualité internationale. Elle emploie 2 600 personnes dont 1 500 journalistes.
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