Florent Meyer : de l'ondotologie au service des autres
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Jeune professeur à la Faculté de chirurgie dentaire depuis septembre 2012, Florent Meyer cumule trois missions. « A côté de l’enseignement et de la recherche, je suis un praticien en chirurgie dentaire au CHU de Strasbourg ».
Trois missions : enseignement, recherche et soin
Communicatif et ouvert, il évoque avec une énergie, qui sied à sa jeunesse, son engagement : « Le soin est une partie indissociable de mon parcours car aider et soulager les gens était la raison première de mes études de médecine ». Les cours d’immunologie et de biologie qu’il donne, s’inscrivent également dans cette vocation. Il lui semble important d’être proche de ses étudiants car « le contact avec eux en cours magistral mais surtout en clinique me donne l’occasion de discuter les cas et les solutions thérapeutiques à mettre en œuvre ». La recherche au sein d’un laboratoire de l’Inserm occupe le reste de son temps.
Un parcours édifiant
La recherche est arrivée dans le prolongement d’une thèse en sciences biologiques soutenue en 2003, clôturant un cursus irréprochable qu’il qualifie modestement de linéaire. « A part deux années de recherches post-doctorales à Cambridge, j’ai tout fait à l’Université de Strasbourg : de l’étude de la chirurgie dentaire (2001) à l'Habilitation à diriger des recherches et au professorat. « Il m’arrive de donner des cours dans les salles où j’ai suivi les miens. » Les lieux et leur évolution sont devenus un repère dans sa trajectoire. Au début, cette spécialité s’est imposée à lui. « Les classements du concours de médecine m’ont proposé la chirurgie dentaire. J’aurais pu repasser le concours l’année suivante mais j’ai estimé que dans cette voie je pouvais aussi soulager les gens ». Son quotidien de praticien le confronte à des défis thérapeutiques qu’il tente de résoudre dans son activité de chercheur. « L’association de la recherche et de la pratique clinique me permet d’avoir une vision plus globale des soins ». Il dirige une équipe, qui travaille sur les nanoparticules dans l’objectif de diagnostiquer et de traiter des cancers buccaux.
Créer des liens
Des enseignants, qui ont su dépasser l’image omnisciente que leur confère leur statut, l’ont aidé à trouver sa voie et à avancer. A son tour formateur, il veut passer le relais. « Au-delà du soutien aux travaux théoriques et pratiques que je peux apporter à mes étudiants, je souhaite arriver à mettre en place du Networking. Je voudrais leur faire bénéficier des contacts que j’aurais noués au sein du réseau alumni.» Lors de son séjour à Cambridge, il a assisté à des rencontres régulières entre les anciens et les nouveaux de l’établissement. Ces derniers commencent ainsi à établir un réseau par rapport à leur projet futur. « Des rencontres conviviales avec des anciens d’autres facultés de l’Université de Strasbourg ouvriraient les horizons de nos futurs praticiens et chercheurs »
Trois missions : enseignement, recherche et soin
Communicatif et ouvert, il évoque avec une énergie, qui sied à sa jeunesse, son engagement : « Le soin est une partie indissociable de mon parcours car aider et soulager les gens était la raison première de mes études de médecine ». Les cours d’immunologie et de biologie qu’il donne, s’inscrivent également dans cette vocation. Il lui semble important d’être proche de ses étudiants car « le contact avec eux en cours magistral mais surtout en clinique me donne l’occasion de discuter les cas et les solutions thérapeutiques à mettre en œuvre ». La recherche au sein d’un laboratoire de l’Inserm occupe le reste de son temps.
Un parcours édifiant
La recherche est arrivée dans le prolongement d’une thèse en sciences biologiques soutenue en 2003, clôturant un cursus irréprochable qu’il qualifie modestement de linéaire. « A part deux années de recherches post-doctorales à Cambridge, j’ai tout fait à l’Université de Strasbourg : de l’étude de la chirurgie dentaire (2001) à l'Habilitation à diriger des recherches et au professorat. « Il m’arrive de donner des cours dans les salles où j’ai suivi les miens. » Les lieux et leur évolution sont devenus un repère dans sa trajectoire. Au début, cette spécialité s’est imposée à lui. « Les classements du concours de médecine m’ont proposé la chirurgie dentaire. J’aurais pu repasser le concours l’année suivante mais j’ai estimé que dans cette voie je pouvais aussi soulager les gens ». Son quotidien de praticien le confronte à des défis thérapeutiques qu’il tente de résoudre dans son activité de chercheur. « L’association de la recherche et de la pratique clinique me permet d’avoir une vision plus globale des soins ». Il dirige une équipe, qui travaille sur les nanoparticules dans l’objectif de diagnostiquer et de traiter des cancers buccaux.
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Des enseignants, qui ont su dépasser l’image omnisciente que leur confère leur statut, l’ont aidé à trouver sa voie et à avancer. A son tour formateur, il veut passer le relais. « Au-delà du soutien aux travaux théoriques et pratiques que je peux apporter à mes étudiants, je souhaite arriver à mettre en place du Networking. Je voudrais leur faire bénéficier des contacts que j’aurais noués au sein du réseau alumni.» Lors de son séjour à Cambridge, il a assisté à des rencontres régulières entre les anciens et les nouveaux de l’établissement. Ces derniers commencent ainsi à établir un réseau par rapport à leur projet futur. « Des rencontres conviviales avec des anciens d’autres facultés de l’Université de Strasbourg ouvriraient les horizons de nos futurs praticiens et chercheurs »
N. Hess, étudiante en master 2 communication scientifique
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Florent Meyer : de l'ondotologie au service des autres
2014-04-11 12:33:37
alumni.unistra.fr
https://alumni.unistra.fr/medias/image/1957995382667d2c4117134.png
2015-11-09 12:33:37
2015-08-25 11:01:51
Service Relations Alumni UNISTRA
Jeune professeur à la Faculté de chirurgie dentaire depuis septembre 2012, Florent Meyer cumule trois missions. « A côté de l’enseignement et de la recherche, je suis un praticien en chirurgie dentaire au CHU de Strasbourg ».
Trois missions : enseignement, recherche et soin
Communicatif et ouvert, il évoque avec une énergie, qui sied à sa jeunesse, son engagement : « Le soin est une partie indissociable de mon parcours car aider et soulager les gens était la raison première de mes études de médecine ». Les cours d’immunologie et de biologie qu’il donne, s’inscrivent également dans cette vocation. Il lui semble important d’être proche de ses étudiants car « le contact avec eux en cours magistral mais surtout en clinique me donne l’occasion de discuter les cas et les solutions thérapeutiques à mettre en œuvre ». La recherche au sein d’un laboratoire de l’Inserm occupe le reste de son temps.
Un parcours édifiant
La recherche est arrivée dans le prolongement d’une thèse en sciences biologiques soutenue en 2003, clôturant un cursus irréprochable qu’il qualifie modestement de linéaire. « A part deux années de recherches post-doctorales à Cambridge, j’ai tout fait à l’Université de Strasbourg : de l’étude de la chirurgie dentaire (2001) à l'Habilitation à diriger des recherches et au professorat. « Il m’arrive de donner des cours dans les salles où j’ai suivi les miens. » Les lieux et leur évolution sont devenus un repère dans sa trajectoire. Au début, cette spécialité s’est imposée à lui. « Les classements du concours de médecine m’ont proposé la chirurgie dentaire. J’aurais pu repasser le concours l’année suivante mais j’ai estimé que dans cette voie je pouvais aussi soulager les gens ». Son quotidien de praticien le confronte à des défis thérapeutiques qu’il tente de résoudre dans son activité de chercheur. « L’association de la recherche et de la pratique clinique me permet d’avoir une vision plus globale des soins ». Il dirige une équipe, qui travaille sur les nanoparticules dans l’objectif de diagnostiquer et de traiter des cancers buccaux.
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Des enseignants, qui ont su dépasser l’image omnisciente que leur confère leur statut, l’ont aidé à trouver sa voie et à avancer. A son tour formateur, il veut passer le relais. « Au-delà du soutien aux travaux théoriques et pratiques que je peux apporter à mes étudiants, je souhaite arriver à mettre en place du Networking. Je voudrais leur faire bénéficier des contacts que j’aurais noués au sein du réseau alumni.» Lors de son séjour à Cambridge, il a assisté à des rencontres régulières entre les anciens et les nouveaux de l’établissement. Ces derniers commencent ainsi à établir un réseau par rapport à leur projet futur. « Des rencontres conviviales avec des anciens d’autres facultés de l’Université de Strasbourg ouvriraient les horizons de nos futurs praticiens et chercheurs »
N. Hess, étudiante en master 2 communication scientifique
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