Non, la déshumanisation du travail n’est pas une fatalité

Rozenn Perrichot de Hellowork nous parle de la question de déshumanisation du travail, au travers du témoignage de François Béharel, président du groupe Randstad France, et membre du Conseil d’Administration du groupe Randstad holding, qui revient sur ces prédictions d'un futur proche où le robot remplacera l'homme au travail. 

Pour lui, cette idée est absurde et voit cette évolution comme positive, permettant aux humains de se placer sur des tâches plus complexes, de sorte que les actions pénibles puissent être dévolues aux machines.

Ïl nous indique que cette mutation est déjà en marche, avec un recrutement de plus en plus axé sur les compétences comportementales plutôt que sur les compétences professionnelles. 

Une vision que nous espérons se révéler juste !

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Laetitia Sciacca